Programme d’accompagnement des 1000 premiers jours

Quel parent ne s’est jamais retrouvé face à une situation avec son enfant en se disant mais COMMENT je vais faire pour gérer ça ? J’accompagne des parents au quotidien, pour diverses raisons, et après chaque cercle, atelier, conférence, consultation que je réalise je sens qu’il faut faire quelque chose de plus structuré, comme une main tendue qui serait disponible dès que vous sentez que vous avez besoin. Pour toi qui croulent sous les infos via les réseaux sociaux, Mais qui en même temps n’a jamais LA bonne info au BON moment quand tu en as besoin, et puis finalement comment savoir que c’est LA bonne info puisque tu n’as pas le temps de vérifier la véracité des posts que tu lis sur instagram ? Et pourtant Tu te sens parfois dépassé face à ton enfant ? Il y a de nombreuses questions qui restent sans réponse ?Tu aimerais te sentir soutenu dans tes choix et dans ton quotidien de parents ? Tu es à l’endroit IDEAL. Le programme individualisé des 1000 premiers jours est unique.  Il va te permettre de recevoir du contenu de qualité, fiable et à jour pour comprendre et accompagner ton enfant au quotidien. Je parle d’information théorique pour comprendre son cerveau par exemple mais surtout d’informations CONCRETESque tu vas pouvoir utiliser directement dans ton quotidien. Tu seras en lien avec un groupe de paires, des mamans, des papas, qui comme toi galèrent face aux crises de leur bambin, face à la solitude du post-partum, sont au bout du rouleau face aux nuits coupées, ou encore des parents qui sont à cran à chaque remarque de l’entourage.  ça te parle ?   Tu auras dans ton smart phone un accès direct pour me poser toutes tes questions, quand tu veux, afin de ne plus rester sans réponse, de ne plus être dans cette zone de flou face à ton enfant.  Alors comment ça marche ? 🧡 Les Ateliers : 2 ateliers audio ou vidéo par mois de 20 à 45 minutes chacun. Du contenu vérifié et à jour pour comprendre votre enfant et accompagner ces besoins mais aussi les vôtres ? qui dit mieux 🙂 🧡 Les cercles : Nous nous retrouvons en groupe afin d’échanger sur vos questions, vos interrogations du moment, liées ou non aux ateliers du mois.Ces moments seront des booster de confiance et permettront de vous sentir entouré.es sur le chemin de votre parentalité 🧡 Whats app : Un fil rouge dans votre poche pour ne plus jamais se sentir seul.e, démuni.e ou dépassé.e !Je réponds à toutes vos questions et je vous soutiens au quotidien. 3 groupes afin d’être avec des parents qui vivent les mêmes choses que toi, au même moment :  Le groupe des bébés né en 2021 : Par ici  – déjà 10 familles <3 Le groupe des bébés né ou à naitre en 2022 : Par ici – déjà 11 familles <3 Le groupes des bébés à naitre en 2023 (me contacter sur contact@lucille-parentalite.fr) Je ne suis qu’une donc les places sont limitées 🙂 Prix de lancement 25€ / mois Début du programme le 12 septembre Vous pouvez partir à tout moment, chaque mois commencé est dû. Tu as un doute ? Tu ne sais pas trop si ce format est fait pour toi ? Ecris-moi et on prend 15 minutes pour échanger par téléphone sur tes problèmatiques et questions du moment afin de valider si c’est pertinent pour toi. Si tu veux en savoir plus, tu peux m’écrire par email ou sur les réseaux sociaux. A très bientôt dans cette belle aventure humaine. Le programme est par ici : PDF Lucille W.

Les 1000 premiers jours

Je vous propose de découvrir une vidéo d’introduction sur les 1000 premiers jours. Ce sujet est si vaste que nous pourrions en parler pendant des heures, mais voici une brève introduction à cette période primordiale pour l’enfant et l’adulte : du quatrième mois de grossesse au 2/3 ans de l’enfant. Cette période vient poser les fondations de la vie de l’enfant, ce n’est pas déterministe car le cerveau évolue au cours de toute la vie, mais c’est déterminant pour la vie future. Et pour aller dans ce sens, il y a une phrase que j’aime beaucoup : l’enfant est l’avenir de l’homme. Pour visionner cette vidéo, c’est par ici : intro sur les 1000 jours J’attends votre retour avec impatience. Lucille

🎙️ Podcast : Le haut potentiel intellectuel

J’ai eu la chance de participé au podcast du quatrième trimestre avec Sophie Baconin. Nous avons parlé du haut potentiel intellectuel et j’ai tenté de répondre à ces questions 🙂 Voici la trame de l’interview : – Nous allons parler de haut potentiel intellectuel : est-ce que tu peux le définir ? Qu’elles sont les spécificités ? Comment cela se traduit-il au quotidien ? Et les mythes autour du haut potentiel ? – Comment découvre-t-on que l’on est HPI ? Est-ce qu’on peut le découvrir à l’âge adulte ? – Quelles sont les particularités du parent haut potentiel ? Est-ce qu’il n’y a qu’une seule façon d’être hpi ? – Est-ce héréditaire ? Un parent hpi aura-t-il forcément un enfant hpi ?   Vous pouvez retrouver ce podcast sur toutes les plateformes d’écoute : Il est disponible ici par exemple Pour découvrir mon profil dans le cercle des pros c’est par ici : Mon profil de professionnelle du post-partum J’ai hâte d’avoir vos retours,   Belle écoute.

La naissance d’une mère

Nous ne naissons pas parents, nous ne naissons pas mère.  Nous devenons mère lorsque notre ventre commence à s’arrondir ou parfois quand son regard plonge dans le votre lors de LA rencontre, le jour J, lors de votre accouchement. Pour les conjoints, qui ne portent pas l’enfant, c’est souvent quand il se retrouve avec cette « petite chose » au creux de leur bras qu’ils se sentent enfants parents.  Et ensuite, nous allons cheminer, avancer, grandir, ensemble.  Lui va apprendre à gazouiller, à manger, à marcher, puis à compter et vous, vous allez apprendre à devenir parents, et même plus précisément à devenir le parent dont votre enfant a besoin. Dana Louise Raphaël est une anthropologue américaine qui a créé dans les 70 l’expression La Matrescence.  Mais alors qu’est ce que c’est la Mastrescence ? Et bien comme l’indique le titre de cet article nous parlons ici de la naissance d’une mère, de tout ce chamboulement que l’on vit lorsque l’on devient maman.  Les neurosciences ont prouvé que le cerveau de la maman se modifie lors de la grossesse, ce n’est donc pas « juste » quelque chose de psychologique mais il y a aussi des changements de l’ordre physique, au sein même de notre cerveau.  On voit bien la similitude avec le mot adolescence, car ce sont deux phases qui nous plongent dans un bain d’hormones et de changements très profonds et nous font revoir notre place dans le monde. Cette période qui dure de la grossesse au 2 à 3 ans de l’enfant est assez méconnue en France.  Comme le dit Alexandra Sacks dans son Tedex, beaucoup de ses symptômes sont attribués à la dépression du post partum, à tord.  « Je pensais que la maternité me rendrait entière et heureuse. Je pensais que je voudrais toujours faire passer le bébé d’abord. »  Alexandra Sacks. Il y a deux principes dans la matrescence : L’attraction et le rejet.  L’attraction s’est le fait de répondre aux besoins de nos bébés qui sont extrêmement dépendants, pour manger, boire, dormir, se mouvoir … L’ocytocine libérée dans le cerveau de la mère va venir mettre le bébé au centre du cerveau afin qu’elle puisse répondre à l’ensemble des besoins de son bébé. Mais dans un même temps, l’esprit de la mère peut rejeter cela car elle a une identité, une vie, des besoins. C’est donc un tiraillement permanent que vivent les mamans. Pour faire évoluer les mentalités sur ce sujet, Alexandra Sacks, Psychiatre, recommande que les femmes se parlent entre elles, mais aussi avec leurs familles, leurs amis et leur partenaire.  « Quand un bébé nait, une mère nait également, chacun instable à sa façon. La matrescence est profonde mais elle est aussi difficile et c’est cela qui la rend humaine. » Alexandra Sacks, Psychiatre J’en profite pour vous partager une illustration que j’aime tout particulièrement de Heloïse Weiner, extrait de son livre « La vie de maman c’est que du bonheur, mais faut s’accrocher » une super BD pour dédramatiser de nombreuses situations du quotidien. Quelques ressources complémentaires :  Le podcast de Clémentine Sarlat, La Matrescence Les ateliers que j’organise pour préparer sereinement l’arrivé de bébé, pour connaitre la prochaine date, vous pouvez regarder l’agenda en page d’accueil ou m’écrire un petit mail 🙂 Lucille. 

Toi, moi et nos émotions

Nous en parlons de plus en plus, les rayons de nos libraires commencent vraiment à être bien denses sur ce sujet que ce soit pour les grands comme pour les plus petits. Mais au final, est-ce que l’on sait vraiment ce qu’est une émotion ? C’est une réaction physiologique, elle ne dure que quelques minutes. Tous les humains de cette planète ont les mêmes émotions, depuis la nuit des temps, afin de préserver notre survie. Exprimer son émotion, par exemple, pleurer en cas de tristesse, va permettre de se libérer de cette émotion. De plus, la production de larmes va permettre la production d’anti douleur naturel. Quelle est la différence avec une sensation ou un sentiment ? Une sensation est physiologique et physique, elle se passe au travers des 5 sens de notre organisme. Par exemple : le chaud, le froid, les oppressions, … Un sentiment dure dans le temps. Plus je vais l’exprimer, plus je vais le renforcer. Il ne passe pas dans le corps mais dans la tête. Par exemple : la jalousie, la culpabilité, perdu, tendu, rancune, furieux, chanceux, gratitude, … Les 4 grandes émotions et comment s’y prendre ? Les 4 grandes émotions sont : la joie, la colère, la peur et la tristesse. La joie : c’est une émotion de liberté, de partage, de succès. Elle nous permet de savoir quand nous sommes sur la bonne direction dans notre vie. L’exercice physique apporte de la joie. Les apprentissages ont BESOIN de la joie pour s’ancrer. Il ne faut pas se limiter dans son expression, alors dansez, sautez, criez … La peur : notre cerveau détecte un danger et nous fait donc réagir, en mobilisant toute notre énergie pour nous protéger, fuir ou éviter. La peur peut aussi se traduire en anxiété, donc une peur un peu moindre, face à l’inconnu par exemple. Il est essentiel de l’accueillir, de la reconnaitre, de l’accepter. Elle nous informe sur beaucoup de choses, nous avons besoin de la comprendre et de la vivre, et pas d’être réassuré. « Ne t’inquiète pas, c’est JUSTE une araignée, c’est pas la petite bête qui va manger la grosse. » En disant ce genre de phrase, nous nions l’émotion de la personne et cela ne vient que la conforter dans son émotion et dans ses éventuels sentiments : « Je ne suis pas capable de me réguler, j’ai peur d’une petite bête, je suis nulle« . Il est plus utile de poser la main sur l’épaule de la personne ou de lui prendre la main, afin de l’accompagner à son rythme et avec douceur dans la traversée de la peur. La tristesse : c’est l’émotion de la perte et de la séparation. C’est une étape obligatoire vers l’acceptation. Tous les objets d’attachement peuvent apporter lors de leur perte une émotion de tristesse : un lieu, une personne, un doudou, une relation … Dans les moments de tristesse nous avons besoin de soutien, de présence, mais aussi parfois de solitude. Nous n’avons pas besoin d’être rassuré, cela viendrait comme pour la peur, nier l’émotion qui est pourtant bien présente dans tout notre corps. Les larmes, que l’on soit une femme ou une homme, une fille ou une garçon, sont autorisées, encouragées. La colère : frustration, invasion, à l’encontre duquel nous avons besoin de nous affirmer contre car nous ne pouvons pas toujours tout tolérer. Il est essentiel de défendre son intégrité et ses valeurs. Colère ne signifie pas violence, c’est la pose de limites à ne pas dépasser. Si nous n’arrivons pas à nous mettre en colère, dans la vraie colère, il peut y avoir des réactions parasites qui vont venir s’interposer et donc nous faire crier, balancer nos stylos, hurler, voir devenir violent physiquement. Prenons un exemple. La vraie colère serait de dire : « Non je ne suis pas d’accord que tu prennes mes stylos, je ne veux pas les prêter« . la réaction parasite serait : hurler en disant, « NON je ne veux pas » ou jeter les stylos au sol, ou encore frapper la personne qui essaie de vous emprunter vos stylos. Cette émotion a très souvent une connotation très négative dans nos sociétés, justement car nous voyons plus souvent la réaction parasite et non pas la vraie émotion. Pourquoi ? Car nous ne devons pas réprimer nos émotions et encore moins la colère. Comme pour toutes les émotions il faut l’accueillir, écouter le besoin, sans chercher à la calmer. Et si nous nous autorisions à exprimer les nôtres ? Nos enfants vont faire ce que l’on fait mais pas ce que nous disons. Nous sommes pour eux des modèles, ils nous aiment plus que tout et veulent évidemment faire tout comme nous. Alors si nous nous autorisons à : dire que nous sommes tristes, et qu’il leur arrivent de nous voir pleurer, que nous aurions bien besoin d’un gros câlin de sa part (même si l’enfant n’est en rien responsable de cette tristesse, son empathie naturelle fera le reste), avouer que nous avons peur de cette araignée et que l’on appelle notre conjoint pour qu’il la mette gentiment dehors, être vraiment super content ce soir car nous avons reçu un super colis surprise que l’on attendait tant donc que l’on va mettre de la musique à fond et danser, mais aussi que l’on peut être très en colère car notre chef n’a pas été très cool aujourd’hui, et donc avoir un moment où l’on a envie d’avoir 5 minutes tout seul, ou alors envie de taper dans un coussin ou de crier dehors un bon coup … Peut être que déjà nous les mettrons sur la piste de l’expression saine des émotions afin de leur donner des clés pour gérer leur propre émotion. Des outils pour les parents Je pense très sincèrement que la base est de comprendre nos propres émotions, de les comprendre, de les accepter et ensuite d’apprendre ou de ré-apprendre à les exprimer comme il faut sans être perturbé par des parasites (comme la violence pour la colère par exemple). Quelques conseils

Mais, je n’en suis pas mort ?

la Violence Éducative Ordinaire, est la violence (physique, psychologique ou verbale) utilisée envers les enfants à titre éducatif (corrections, punitions) communément admise et tolérée.